L‘origine française du mot « parquet » remonte à 1339.
Cette appellation du XIVème siècle est définie dans le Larousse Ethymologique comme, « petit parc » et plus spécialement partie d’une salle de justice où se tiennent les juges.
Bien que cette appellation soit toujours usitée, on voit très clairement la dérive du « parc de justice » au parquet, revêtement de sol. En effet, les nobles avaient le droit de rendre la justice en leurs châteaux. Ils étaient aussi propriétaires des forêts et seuls à pouvoir faire des abattages de bois pour leur usage personnel. Ils ont donc fabriqué du parquet pour leurs châteaux là où, la représentation du pouvoir s’excerçait.
Le parquet était né !
Excellent isolant contre le froid, le parquet ne fût jusqu’au XVIIème siècle que des planches taillées à la hache ou à l’herminette et clouées côte à côte, il n’était que « plancher ».
Au XVIIème siècle, les premiers parquets jointifs apparurent. Ils étaient à panneaux ou à caissons. De prestigieuses réalisations suivirent et il n’en est pour preuves que les parquets de VERSAILLES ou de CHANTILLY ou ceux du LOUVRE.
De nos jours, grâce aux techniques modernes d’usinage et de finition, le parquet est aujourd’hui un revêtement de sol facile à vivre et facile à poser.
A présent, nous parlons de nombreux parquets avec chacun leurs styles différents :
- Parquet à clouer massif (à l’anglaise, point de Hongrie, etc.)
- Parquet pose collé (mosaïque, à lame, clips, etc.)
- Parquet pose flottant (diverses poses, dalles marqueterie, etc.)